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Origine des noms de rues

 

Avenue de Stühlingen 

Autrefois appelée rue du Mans, cette rue fut coupée en deux pour en rebaptiser une partie en « Avenue de Stühlingen », ville allemande jumelée à Bellême.

 

Avenue du Docteur Boutron

Anciennement rue Carnot, elle est renommée en hommage au Docteur Boutron, médecin à Bellême, conseiller municipal et maire.

 

Avenue Roger Martin du Gard

Cette avenue est l'ancienne partie haute de la rue de Paris, renommée « Avenue Roger Martin du Gard » en l'honneur de ce dernier, écrivain et prix Nobel de littérature qui habitait au château du Tertre, à la sortie de Bellême (voir dans "Personnages").

 

Boulevard Bansard des Bois

Est appelé ainsi pour son illustre habitant qui vivait dans cet hôtel particulier, au-dessus de l'abreuvoir. Il fut maire de Bellême, conseiller général et député de l'Orne.

Chemin des Bois

Au 18ème siècle il était appelé rue du Mail.

 

Parc de Vigan

Ancien parc de la famille de Vigan qui demeurait à Bellême : cette famille habitait au 14 rue Boucicaut où l’on peut encore voir la façade de l’hôtel particulier et le portail en bois du 18ème siècle (maintenant le Crédit Agricole).

 

Place Abbé Marcel Poulain

La dernière des places de la ville rebaptisée en hommage à l’abbé Poulain, ancien résistant et curé de la ville. Il participa beaucoup à la vie de la commune (kermesse, maison des jeunes, fanfare et ses majorettes, etc.).

Ancien square Colin Maillard.

 

Place au Blé

Place où se vendaient les céréales les jours de marché.

 

Place et impasse Boucicaut

Deux lieux pour l'un de nos plus célèbres habitants (voir dans « Personnages»).

 

Place de la Liberté

Ainsi nommée depuis la révolution.

Pendant la révolution elle prit le nom de place de l'Union.

 

Place de la République

Renommée en 1860 : elle s’appelait auparavant « Place Saint-Sauveur », nom de l'église.

 

Place de l'Europe

L’ancienne place du Château, qui s'appelait avant place des Halles au 19e siècle, rebaptisée ainsi depuis le regroupement des états européens.

Place des Hostelleries

Aménagée au milieu du 18ème siècle entre la rue de Paris et la rue du Mans, elle prit ce nom en raison de la concentration de plusieurs auberges ou hôtels.

Au 20ème siècle, elle est appelée aussi place de la Bascule, en raison d'une bascule publique qui y avait été aménagée et repris son ancien nom après la suppression de celle-ci.

 

Place du Champ de Foire

Place où avaient lieu les foires et les concours d'animaux, puis le terrain de foot municipal.

 

Place et rue du Général Leclerc

En hommage à ce grand général, anciennement place Carnot.

 

Place Liégeard

Autrefois cour royale, puis cour nationale où la justice était rendue.

Elle fut habitée par le docteur Liégeard à qui l'on doit ce dernier nom de cette petite place.

 

Place Roger Heim

Directeur du Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, grand mycologue (dont Bellême est reconnu avec ses journées mycologiques).

Rampe du Château

Voie d’accès aménagée au début du 19ème siècle par amputation de l'ancienne aire du château.

 

Rue Albert Leclair

Bellêmois et grand spécialiste des champignons, il publie de nombreux livres sur ceux-ci. Il devient vice-président de la Société Mycologique de France et reçoit le titre de Chevalier de l'Ordre du Mérite.

 

Rue Apollo XI

Baptisée de ce nom lors du lancement de la fusée qui emmenait les premiers hommes sur la lune.

 

Rue aux Gélines

Ancien marché aux poules (géline : volaille au moyen-âge).

Elle s'appelait sous la révolution rue de l'Egalité.

 

Rue Besnardière

Vient du nom de Bénardière, seigneur en Saint-Jouin-de-Blavou, dont la famille possédait l’hôtel particulier du Portail, maintenant le presbytère.

Une autre version dirait que c'est en mémoire de Julien Petibon de la Besnardière ancien maire de Bellême.

Rue Boucicaut

Du nom d'Aristide Boucicaut, fondateur du Bon Marché.

Avant et après la révolution, elle s'appela Grande Rue et rue Saint-Pierre.

 

Rue Coquetière

Lieu de l’ancien marché aux œufs. Elle s'appelait avant la révolution rue Lecomte.

 

Rue d’Alençon

Cette rue s’appelait autrefois la rue Saint-Michel : c’était la route principale avant que ne fut construite l’avenue du Docteur Boutron. Comme beaucoup de rues, elle porte le nom de la direction des villes voisines.

 

Rue de Chennevières

Du nom de Philippe de Chennevières, fervent défenseur des intérêts de Bellême : il fut conseiller général. C’est aussi le nom donné à la salle des fêtes place de l’Europe.

 

Rue de Goring-on-Thames

Vient du nom de la ville jumelée avec Bellême.

Rue de la Croix Blanche

Ancien chemin qui conduisait à Appenai : il y avait autrefois une croix à l'emplacement du transformateur.

Elle s'est appelée rue de Bellecousine, puis rue Pillefer ou de la Croix Pillefer.

Rue de la Croix d'Or

Son nom vient de l’hôtel voisin dans le haut de la place de la République aménagée sur les anciens fossés du château.

 

Rue de la Fontaine

Il y a une source toujours existante dans le bas de celle-ci.

 

Rue de la Fuie

Il y avait des volières (fuie ou fuye : petite volière).

 

Rue de la Herse

Est appelée ainsi car elle était fermée par une herse. En dessous de cette herse la rue s'appelait rue du faux pavés.

 

Rue, ruelle et allée de Ronnel

Ce nom vient sans doute du hameau de Ronnel situé à Saint-Hilaire-lès-Mortagne à côté de Mortagne-au-Perche.

Cet hameau fut brûlé, les habitants tués ou emprisonnés en 1590 (guerre de religion) : c’est ce que nous conte en 1840 l’abbé Louis-Joseph Fret, curé de Champs et historien du Perche dans l’un de ses livres.

C’est sans doute en mémoire de l’abbé ou des faits survenus que l’on baptisa ainsi nos rues.

Rue et ruelle de Nogent

Rue qui mène à Nogent-le-Rotrou : elle s'appelait rue du Moulin à Vent parce qu'elle conduisait à celui-ci, situé à Sérigny à l'emplacement de l'actuel château d'eau.

 

Rue de Paris

Rue qui prend  la direction de Paris (il y a un certain temps). Au 18ème siècle elle s'appelait rue du Dauphin, puis sous la révolution rue du Cygne.

 

Rue des Abattoirs

On y tuait et débitait les bêtes.

Rue des Cytises

Nommée ainsi par le conseil municipal car il y avait ces arbres qui poussaient là.

 

Rue du Château

Rue qui menait à la place forte.

 

Rue du Cimetière

Comme son nom l’indique, c’est la rue qui mène au cimetière. Pendant la révolution elle s'appelait rue des Sans-culottes.

 

Rue du Collège

Comme son nom l’indique, c’est la rue où il y a le collège.

 

Rue du Docteur Jacques Talbot

Pour honorer la mémoire de celui qui fut docteur et maire-adjoint pendant de longues années.

 

Rue du Mans

Rue qui mène au Mans : elle portait jusqu'à la révolution le nom de rue chaude.

 

Rue du Puits

Rue où il y avait autrefois un puits au milieu de la rue et il reste encore une pompe à eau juste au coin de la rue d’Alençon.

Rue Hautguinière

Rue où il y avait des cerisiers (rue aux guiniers).

Sous la révolution, elle s'appelait rue de l'Economie.

 

Rue Saint-Jean

Rue qui mène à Saint-Jean-de-la-Forêt.

 

Rue Théodore Tuffier

Né à Bellême, il fut professeur agrégé à la faculté de médecine, officier de la légion d’honneur, membre de l’académie de médecine, président de la Société Nationale de Chirurgie.

Rue Sablonnière

Ce nom vient du terrain très sablonneux de cette partie de ville.

Rue Sainte-Lorette

Le nom vient de Notre-Dame de Lorette dont le culte se propagea au milieu du 16ème siècle : il y avait une croix, puis un oratoire aujourd'hui disparu.

 

Rue Ville Close

La rue touristique de Bellême avec ces superbes maisons. C’est la rue qui monte vers l’ancien château et, de l’autre côté, le porche qui le fermait.

Durant la révolution et jusqu'aux environs de 1815, elle s'est appelée rue de la Montagne.

Ruelle des Garreaux

Son ancien nom était rue Traversière.

 

‌Ruelle du Fossé de l’Horloge
Ruelle qui passe au pied de la tour octogonale du même nom du 15ème siècle dans les anciens fossés du château où l'on pouvait voir l'ancien rempart de la ville (maintenant caché). 

On lui doit son nom car une horloge y était installée.

 

Square Simone Veil

Inauguré en 2018 en mémoire de cette grande dame. C’est à elle que l’on doit la loi sur l’interruption volontaire de grossesse, dépénalisant l’avortement.

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